Fin d’année rime avec visite scolaire.
Un grand classique à Bruxelles : la visite des usines Côte d’Or.
Un grand classique à Bruxelles : la visite des usines Côte d’Or.
C’est con, mais Lou n’aime pas le chocolat.
Il préfère le parmesan.
Ben oui, Lou n’a pas non plus d’odorat et donc un goût altéré.
Puis les aliments trop durs, c’est une longue, très longue histoire de treize années pour passer de l’élément liquide à la mastication. Mais là, on y est presque.
Accepteriez –vous de mettre un quelconque aliment en bouche, les yeux fermés, donc sans le voir ?
Ceci dit, il paraît que “c’était plein de chouettes bruits de machines”.
5 commentaires:
Quel plaisir de le voir grandir. attentif au monde qui l'entoure, acceptant peu à peu de partir à sa découverte, pas à pas... Et la canne en guise de victoire car elle lui promet une certaine autonomie dans ses explorations... Merci pour ces petites anecdotes qui sont le signe de progrès indéniables! Bonne continuation, bonnes vacances!!
Il m'est difficile de dire pourquoi je trouve que Lou est beau sur cette photo. Appuyé sur son bâton de berger (ça c'est du saucisson...) l'air de méditer. Croyez-vous qu'il n'y a pas de mélodie dans le vacarme d'une usine ? Ce grand bonhomme m'a demandé il y a plusieurs jours si j'aimais le parmesan, et la confiture ! On oublie souvent qu'on mange aussi avec les yeux.
Maintenant ça ne me fait plus rire. Je vais plutôt être positif : je suis révolté. C'est pour faire joli tout ça, un bonhomme aveugle qui visite une usine. Un jour Lou pourra postuler pour un job d'étudiant chez Pomme d'Or, et imaginer s'y faire engager plus tard. Y a-t-il une place pour un aveugle ici, ou là-bas ? Certainement ! Il y a de la place pour tout le monde, ou alors on se marcherait sur les pieds (ça se fait aussi). Alors le grand classique, c'est de satisfaire la réputation de l'éléphant, de l'école et de la société !
En forme, Christ ophe, nouvel ange gardien de Lou sur le net. ;-)
...oh si des ailes me poussent je reverrai mon profil ! Les vrais anges, je crois que ce sont les plus fragiles de ce monde. Un jour que je disais à Lou que j'étais fan de ses chansons, il me serra dans ses bras, sans me connaître. Ou cette petite fille à Famisol, me rencontrant pour la première fois, qui me prend par la main pour me conduire dans la salle de jeux. C'était moi l'enfant !
Enregistrer un commentaire